Je ne sais ce qui me possède et me pousse à dire à voix haute, ni pour la pitié, ni pour l'aide, ni comme on avouerait ses fautes, ce qui m'habite et qui m'obsède. (Aragon)
Je ne sais ce qui me possède et me pousse à dire à voix haute, ni pour la pitié, ni pour l'aide, ni comme on avouerait ses fautes, ce qui m'habite et qui m'obsède. (Aragon)