Je ne sais ce qui me possède et me pousse à dire à voix haute, ni pour la pitié, ni pour l'aide, ni comme on avouerait ses fautes, ce qui m'habite et qui m'obsède.
(Aragon)
superbe à écouter dans le noir de la nuit.Cet après-midi j'étais à la plage et je me souvenais d'un précédent billet où tu avais fait tant de kilomètres pour un moment sur la plage.Je n'ai pas de photos mais je t'envoie cette pensée de plage bretonne écrasée de soleil.Il faisait si bon à nager avec le masque parmi les éperlans.
Oui, Rosa ;-D Bon lundi Obrigada, Nina. Madredeus e sempre maravillha, nao? Jabellik, je sens l'odeur marine et je vois les éperlans à travers tes yeux. Bon lundi!
Tu aimes aussi Madredeus, j'ai plusieurs de leurs CD, mais je ne peux les écouter que quand je suis seule...Il paraît que ça leur plombe l'humeur, et une famille chagrine, c'est pas possible!!! Donc Madredeus fait partie des concessions. Tes photos sont si douces, ce qui m'inquiète c'est ta pile de couvertures...;)
Lolotte! Comme tu es gentille (je m'efforce, tu sais... !) Paula, Madredeus m'enseigne le portugais. Theresa a une voix superbe. Avant que Pedro n'aille la chercher (après l'avoir longuement cherchée) elle s'amusait à faire la punk à Lisboa ;-D Lena, c'est que ta famille ne comprend pas le portugais... les paroles, simples, sobres, magnifiques (qui me font penser à Sophie de Mello Andresen Breyner) sont imagées, calmes, profondes et ne donnent pas du tout mais pas du tout les «bleus». Quand je veux retrouver le sentiment qui m'habite lorsque je suis au Portugal, j'écoute Madredeus et je m'y sens bien.
Lena, je suis une femme prévoyante... les couvertures seront bien utiles (pas trop bientôt j'espère!). Les concessions, partie intégrante de la vie, faut vivre avec. C'est qui qui écrivait à propos de la famille qu'il ne pourrait jamais vivre dans une telle prison? ;-D
Un billet doux comme les pêches...
RépondreEffacerBises,
Rosa
Maravillha !:-)
RépondreEffacersuperbe à écouter dans le noir de la nuit.Cet après-midi j'étais à la plage et je me souvenais d'un précédent billet où tu avais fait tant de kilomètres pour un moment sur la plage.Je n'ai pas de photos mais je t'envoie cette pensée de plage bretonne écrasée de soleil.Il faisait si bon à nager avec le masque parmi les éperlans.
RépondreEffacerOui, Rosa ;-D Bon lundi
RépondreEffacerObrigada, Nina. Madredeus e sempre maravillha, nao?
Jabellik, je sens l'odeur marine et je vois les éperlans à travers tes yeux. Bon lundi!
Il ne me reste plus qu'a venir prendre des cours de photographie chez toi. Tout simplement superbe, comme ces peches qui t'inspirent...
RépondreEffacerUne douce voix qui donne le ton...
RépondreEffacerJ'aime beaucoup aussi ta photo.
Bonne journée
paola
Tu aimes aussi Madredeus, j'ai plusieurs de leurs CD, mais je ne peux les écouter que quand je suis seule...Il paraît que ça leur plombe l'humeur, et une famille chagrine, c'est pas possible!!!
RépondreEffacerDonc Madredeus fait partie des concessions.
Tes photos sont si douces, ce qui m'inquiète c'est ta pile de couvertures...;)
Lolotte! Comme tu es gentille (je m'efforce, tu sais... !)
RépondreEffacerPaula, Madredeus m'enseigne le portugais. Theresa a une voix superbe. Avant que Pedro n'aille la chercher (après l'avoir longuement cherchée) elle s'amusait à faire la punk à Lisboa ;-D
Lena, c'est que ta famille ne comprend pas le portugais... les paroles, simples, sobres, magnifiques (qui me font penser à Sophie de Mello Andresen Breyner) sont imagées, calmes, profondes et ne donnent pas du tout mais pas du tout les «bleus». Quand je veux retrouver le sentiment qui m'habite lorsque je suis au Portugal, j'écoute Madredeus et je m'y sens bien.
Lena, je suis une femme prévoyante... les couvertures seront bien utiles (pas trop bientôt j'espère!).
RépondreEffacerLes concessions, partie intégrante de la vie, faut vivre avec. C'est qui qui écrivait à propos de la famille qu'il ne pourrait jamais vivre dans une telle prison? ;-D
elle a raison Lolotte,
RépondreEffacertes photos sont belles
imagines toi qu'il pleut ici
...
enfin