De jour en jour, le printemps s'installe. Pas le goût de rester à la maison... je n'ai qu'une envie, jouer dehors (et manger à l'extérieur, aussi).
Day by day, Spring is evolving. Don't feel like staying at home... I just want to go outside to play (and have dinner in a restaurant too).
Day by day, Spring is evolving. Don't feel like staying at home... I just want to go outside to play (and have dinner in a restaurant too).
les fleurs et le soleil s'installent dans nos vies
flowers and sunshine are taking up residence in our lives
Mais... la crainte suscitée par les médias et la pandémie éventuelle refroidit les ardeurs. La seule chose de positive dans tout ça? L'accent mis sur le sens civique et les principes d'hygiène de base lorsqu'on a la chance de vivre en société. C'est un piètre prix à payer que de penser aux gens qui nous entourent. Quand j'étais jeune, à la petite école, on nous enseignait les rudiments de la vie en société. La quarantaine était une mesure appliquée lorsqu'on avait les maladies infantiles. Rougeole, oreillons? Nous restions à la maison, tout simplement. C'est bien de rappeler ces règles de base aux gens... Durant les dernières décennies, la grippe est devenue une maladie communautaire, on la fait circuler allègrement, sans égard aux gens qui nous entourent. Cette peur de la grippe porcine rétablira peut-être les choses.
But then... fear created by media coverage on an eventual pandemic dampens enthusiasm. The only positive thing in all this? An accent put on responsible citizenship and basic hygiene principles when one is fortunate enough to live in a society. It's a small price to pay, thinking of people who surround us. When I was young, in grade school, we were taught rudiments of life within a community. Quarantines were applied when we had childhood illnesses. Smallpox, mumps? Simply put, we stayed at home. It's a good thing to refresh our memories on basic rules... During the last decades, flu has become a community disease, we propagate it with glee, with no regards to people surrounding us. This fear of swine flu might well put some well-needed order in things.
But then... fear created by media coverage on an eventual pandemic dampens enthusiasm. The only positive thing in all this? An accent put on responsible citizenship and basic hygiene principles when one is fortunate enough to live in a society. It's a small price to pay, thinking of people who surround us. When I was young, in grade school, we were taught rudiments of life within a community. Quarantines were applied when we had childhood illnesses. Smallpox, mumps? Simply put, we stayed at home. It's a good thing to refresh our memories on basic rules... During the last decades, flu has become a community disease, we propagate it with glee, with no regards to people surrounding us. This fear of swine flu might well put some well-needed order in things.
4 commentaires:
Que la lumière est belle dans tes photos, pour moins la grippe porcine est une autre peur que les médias encouragent, je suis d'accord avec ce que tu dis il faut respecter les bonnes règles de base pour éviter de contaminer trop de monde! mais de grâce vivons c'est le printemps!!!!!!
Tu as raison de rappeler ces règles essentielles, question d'hygière et de respect des autres, mais cela a t il encore une signification ?
si les gens apprenaient seulement à se laver les mains, la moitié des épidémies disparaitraient, le civisme n'est pas une qualité répandue!
avec l'obligation de productivité on ne risque plus de rester à la maison quand on est malade. Et oui il fut un temps ou si on était contagieux on restait chez soi mais aussi si le temps rendait la circulation trop dangereuse, on ne comprend plus que le climat ne peut pas être controlé pas plus que les vaccins ne permettent pas de tout éviter.aujourd'hui il faut absolument pouvoir aller bosser coute que coute
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