dimanche 9 septembre 2007

Peachy Sunday

Photo Gato Azul


adeus, dissemos

e nada mais de então ficou

de asas quebradas

foi a ave branca que voou

voa lá alto, que eu morro, bem sei, sem voltar

cantem as aves do monte qu'eu fui ver o mar...

ai

não sei de mim

ai

não sinto nada...

ai

e nem

voltei






10 commentaires:

Rosa's Yummy Yums a dit...

Un billet doux comme les pêches...

Bises,

Rosa

Anonyme a dit...

Maravillha !:-)

Anonyme a dit...

superbe à écouter dans le noir de la nuit.Cet après-midi j'étais à la plage et je me souvenais d'un précédent billet où tu avais fait tant de kilomètres pour un moment sur la plage.Je n'ai pas de photos mais je t'envoie cette pensée de plage bretonne écrasée de soleil.Il faisait si bon à nager avec le masque parmi les éperlans.

Anonyme a dit...

Oui, Rosa ;-D Bon lundi
Obrigada, Nina. Madredeus e sempre maravillha, nao?
Jabellik, je sens l'odeur marine et je vois les éperlans à travers tes yeux. Bon lundi!

Anonyme a dit...

Il ne me reste plus qu'a venir prendre des cours de photographie chez toi. Tout simplement superbe, comme ces peches qui t'inspirent...

Anonyme a dit...

Une douce voix qui donne le ton...
J'aime beaucoup aussi ta photo.
Bonne journée
paola

lena sous le figuier a dit...

Tu aimes aussi Madredeus, j'ai plusieurs de leurs CD, mais je ne peux les écouter que quand je suis seule...Il paraît que ça leur plombe l'humeur, et une famille chagrine, c'est pas possible!!!
Donc Madredeus fait partie des concessions.
Tes photos sont si douces, ce qui m'inquiète c'est ta pile de couvertures...;)

Anonyme a dit...

Lolotte! Comme tu es gentille (je m'efforce, tu sais... !)
Paula, Madredeus m'enseigne le portugais. Theresa a une voix superbe. Avant que Pedro n'aille la chercher (après l'avoir longuement cherchée) elle s'amusait à faire la punk à Lisboa ;-D
Lena, c'est que ta famille ne comprend pas le portugais... les paroles, simples, sobres, magnifiques (qui me font penser à Sophie de Mello Andresen Breyner) sont imagées, calmes, profondes et ne donnent pas du tout mais pas du tout les «bleus». Quand je veux retrouver le sentiment qui m'habite lorsque je suis au Portugal, j'écoute Madredeus et je m'y sens bien.

Anonyme a dit...

Lena, je suis une femme prévoyante... les couvertures seront bien utiles (pas trop bientôt j'espère!).
Les concessions, partie intégrante de la vie, faut vivre avec. C'est qui qui écrivait à propos de la famille qu'il ne pourrait jamais vivre dans une telle prison? ;-D

jp a dit...

elle a raison Lolotte,
tes photos sont belles
imagines toi qu'il pleut ici
...
enfin